Charles XIV Jean de Suède (1763-1844)
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Charles XIV Jean de Suède (1763-1844)from the Wikipedia
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Charles III Jean de Norvège

Charles XIV Jean
(sv) Karl XIV Johan
Charles XIV Jean de Suède et de Norvège.
Charles XIV Jean de Suède et de Norvège.
Titre
Roi de Suède
5 février 18188 mars 1844
(26 ans, 1 mois et 3 jours)
Couronnement 11 mai 1818 à Stockholm
Prédécesseur Charles XIII
Successeur Oscar Ier
Roi de Norvège
(Karl III Johan)
5 février 18188 mars 1844
(26 ans, 1 mois et 3 jours)
Couronnement 7 septembre 1818 en la Cathédrale de Nidaros à Trondheim
Prédécesseur Charles II
Successeur Oscar Ier
Vice-roi de Norvège
9 novembre 181417 novembre 1814
(8 jours)
Prince héritier de Suède et de Norvège
4 novembre 18145 février 1818
(3 ans, 3 mois et 1 jour)
Prédécesseur Création
Successeur Oscar
Prince héritier de Suède
5 novembre 18104 novembre 1814
(3 ans, 11 mois et 30 jours)
Prédécesseur Charles-Auguste
Successeur Oscar
Biographie
Dynastie Maison Bernadotte
Nom de naissance Jean Baptiste Bernadotte
Date de naissance 26 janvier 1763
Lieu de naissance Pau (Royaume de France)
Date de décès 8 mars 1844 (à 81 ans)
Lieu de décès Stockholm (Suède-Norvège)
Sépulture Église de Riddarholmen (Stockholm)
Nationalité française
suédoise
norvégienne
Père Henri Bernadotte
Mère Jeanne de Saint-Jean
Conjoint Désirée Clary
Enfant(s) Oscar Ier Roi de Suède, roi de Norvège
Religion Catholique puis Luthéranisme suédois
Résidence Palais royal de Stockholm

Charles XIV Jean
Monarque de Suède- Norvège
Jean-Baptiste Bernadotte
Jean-Baptiste-Jules Bernadotte, Prince de Ponte-Corvo, roi de Suède, Maréchal d'Empire (1763-1844), Joseph Nicolas Jouy (1809–1880), Musée de l'Histoire de France, Versailles
Jean-Baptiste-Jules Bernadotte, Prince de Ponte-Corvo, roi de Suède, Maréchal d'Empire (1763-1844), Joseph Nicolas Jouy (1809–1880), Musée de l'Histoire de France, Versailles

Origine Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Allégeance Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France République française
Drapeau de l'Empire français Empire français
Flag of Sweden.svg Royaume de Suède
Grade Maréchal d'Empire : 19 mai 1804
Années de service 17801810
Conflits Guerres révolutionnaires
Guerres napoléoniennes
Commandement Gouverneur de Hanovre
Faits d'armes Blocus de Mayence
Bataille d'Ulm
Bataille d'Austerlitz
Bataille de Wagram[réf. nécessaire]
Bataille de Gross Beeren
Bataille de Dennewitz
Bataille de Leipzig
Hommages Nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile (3e colonne)
Autres fonctions Ministre français de la Guerre
Conseiller d'État

Emblème
Prince de Pontecorvo

Jean-Baptiste Bernadotte, né le 26 janvier 1763 à Pau, mort le 8 mars 1844 à Stockholm, passa en l’espace de trente-huit ans d’un rang de soldat du roi de France aux titres de roi de Suède et de Norvège sous les noms de Charles XIV Jean (en suédois, Karl XIV Johan) et de Charles III Jean (en norvégien, Karl III Johan) après avoir été général sous la Convention, ambassadeur puis ministre durant le Directoire, maréchal d’Empire et prince de l’Empire.

Biographie[modifier | modifier le code]

Naissance[modifier | modifier le code]

Le 20 février 1754, Henri Bernadotte, procureur palois (Béarn), épouse Jeanne de Saint-Jean, originaire de Boeil (Boeil-Bezing) et nièce de l'abbé laïc de Sireix. Le 26 janvier 1763, naît à Pau leur cinquième enfant, Jean-Baptiste[1]. Celui-ci doit suivre la voie ouverte par son père, et donc étudier le droit. Cependant, il trouve ces études ennuyeuses.

Carrière militaire française[modifier | modifier le code]

Après la mort de son père en 1780, Jean-Baptiste s'engage dans le régiment Royal-La Marine. Jeune sergent affecté à la garnison de Grenoble, Jean-Baptiste est sauvé de la mort par le botaniste Dominique Villars lors de la Journée des Tuiles du 7 juin 1788[2].

La Révolution française[modifier | modifier le code]

Lorsque la Révolution française éclate, il a le grade de sergent. Après s'être distingué aux armées du Rhin et de Sambre-et-Meuse, il est promu, grâce à Jean-Baptiste Kléber, général de brigade après la bataille de Fleurus en juin 1794. Deux mois plus tard, il est général de division.

Le 17 avril 1794, commandant de la 71e demi-brigade cantonnée à Prémont (Aisne), sa demi-brigade est totalement détruite par une charge des Autrichiens, il ne doit son salut qu'à la vitesse de son cheval. À cette époque, il est sous les ordres du général Goguet, qui avait son quartier général à Bohain (Aisne).

La Campagne d'Italie[modifier | modifier le code]

Il est chargé en 1797 de conduire en Italie 20 000 hommes de l'armée de Sambre-et-Meuse, et malgré des sentiments mitigés et des rapports difficiles, il est lui-même impressionné par le général Bonaparte.

En 1798, Bernadotte est envoyé à Vienne, en qualité d'ambassadeur. Il y rencontre Beethoven, et y provoque une émeute pour avoir arboré le drapeau tricolore sur la façade de l'ambassade française. Il quitte alors la capitale autrichienne deux mois seulement après son arrivée. La même année, il épouse Désirée Clary, la première fiancée de Napoléon, et devient ainsi le beau-frère de Joseph Bonaparte. L'année suivante va naître Oscar son unique enfant.

Ministre de la Guerre[modifier | modifier le code]

Chargé du commandement de l'armée d'observation, en 1799, il reçoit l'ordre de passer le Rhin pour bloquer Philippsburg ; mais les revers des Français en Italie et en Allemagne les forcent à renoncer à ce projet.

Nommé alors ministre de la guerre du 3 juillet au 14 septembre 1799, il cherche à ranimer le zèle des armées françaises par des mesures vigoureuses, et réorganise en deux mois (2 juillet-11 septembre 1799) les services qui étaient dans un état déplorable. Présenté comme proche des Jacobins, Il est écarté par une intrigue de Sieyès.

Il refuse de participer au coup d'État du 18 brumaire, mais est cependant ménagé par Bonaparte. En effet, il entre au Conseil d'État, et reçoit le commandement de l'armée de l'Ouest. Il est basé à Rennes.

Il est compromis par la conspiration des « libelles », dite aussi des « pots de beurre » montée par le général Simon.

L’Empire[modifier | modifier le code]

En 1804, Bernadotte se rallie à Napoléon devenu Empereur. Il est nommé gouverneur à Hanovre, et reçoit le bâton de maréchal. En 1805, il combat à Austerlitz. En 1806, le 5 juin, Bernadotte devient prince de Pontecorvo[3]. Cette même année, il ne participe ni à la bataille d'Iéna, ni à celle d'Auerstaedt.

Mais lors de la « Grande poursuite », il défait les Prussiens à Halle, et enfin à Lübeck avec Murat et Soult. Bernadotte a en cette occasion, les plus grands égards pour des prisonniers suédois par pure courtoisie. Ces derniers ne l'oublieront pas.[réf. nécessaire]

Puis, marchant sur la Pologne, il passe la Vistule, occupe Elbing, Braunsberg, et défait les Russes le 27 janvier 1807 lors de la bataille de Mohrungen.

Il ne participe pas à la bataille d'Eylau le 8 février 1807.

Le 5 juin 1807 à Spanden, Bernadotte est blessé par une balle qui l'atteint au cou. Cette blessure l'empêche de prendre part à la bataille de Friedland le 14 juin 1807. Il est nommé après sa guérison gouverneur des villes hanséatiques, et part pour Hambourg.

En 1809 à Wagram, son corps d'armée composé de Saxons est décimé, et Napoléon, mécontent, lui retire son commandement, et le renvoie à Paris.

Fouché lui obtient l'armée de l'Escaut à la fin de juillet 1809. Il repousse les Britanniques débarqués à Walcheren (juillet 1809). Malgré ce succès, il se voit encore une fois privé de son commandement : l'Empereur lui enlève l'armée de l'Escaut dès septembre.

Prince de Suède[modifier | modifier le code]

Armoiries de Jean-Baptiste, prince héritier de Suède et de Norvège, en qualité de membre de l' Ordre des Séraphins.

En 1810, alors qu'il se trouve à Paris en semi-disgrâce, le parti pro-français suédois lui propose d'être candidat lors de l'élection du nouveau prince héritier, avec l'idée de récupérer avec l'appui de Napoléon la Finlande que la Russie a annexée en 1809. Grâce à Jean Antoine Fournier (sv), un Grenoblois ayant vécu 18 ans en Suède, qui y retourne se faisant passer pour l'« envoyé » de Napoléon, et y mène une propagande active et habile, Bernadotte est élu à la surprise générale. L'élection s'est tenue à Orebro ville du centre de la Suède, afin d'éviter des troubles possibles à Stockholm. Il part avec l'assentiment de Napoléon qui accepte ce choix, espérant tenir ainsi un allié solide au nord de l'Europe. Il débarque à Helsingborg le 20 octobre 1810, et le 31 suivant, il est présenté aux États ; le 5 novembre 1810, adopté par le roi Charles XIII, il prend le nom de Charles-Jean. Il consent d'abord à seconder la politique de l'Empereur et participe au blocus continental. En fait, dès 1811, à cause de la sénilité de son père adoptif, il dirige les affaires du royaume.

Sa politique veut qu'il renonce à la Finlande pour être en paix avec les Russes. Il espère néanmoins récupérer la Norvège, danoise depuis trois siècles, avec l'accord de l'Empereur. Devant le refus de ce dernier qui lui propose par la suite de l'accompagner pour attaquer la Russie, Charles-Jean rompt avec Napoléon qui vient d'envahir la Poméranie suédoise, et se rapproche du tsar Alexandre Ier.

Il participe en 1813 à la coalition contre la France, et prend le commandement de l'armée alliée du nord de l'Allemagne. Il défait Oudinot à Gross-Beeren (23 août 1813), Ney à Dennevitz (6 septembre 1813), et prend part à la bataille de Leipzig (16-19 octobre 1813). Puis il descend l'Elbe, s'empare de Lübeck et se dirige vers le Holstein, et menaçant le Danemark, obtient lors du traité de Kiel, le 14 janvier 1814, que la Norvège soit cédée à la Suède.

Il répugne à l'idée d'entrer en France en ennemi, et souhaite que son ancien pays conserve sa frontière sur le Rhin. L’intransigeance de Napoléon rendra impossible ce désir.

Il avait caressé l'espoir de remplacer Napoléon, perspective à laquelle le tsar Alexandre Ier n'eût pas été hostile. Cette solution, envisagée, n'eut pas de suite, et les Bourbons furent restaurés sur le trône de France.

Après un bref séjour à Paris, il revint en Suède, où il est reçu avec enthousiasme. Il marche sur la Norvège dans laquelle des troubles ont éclaté, et s'en rend maître en 15 jours (1814).

En 1815, suite au retour de Napoléon pour les Cent-Jours, la Suède n’est pas tenue de combattre. Elle s'engage désormais dans une neutralité désirée par le prince héritier.

Roi de Suède et Norvège[modifier | modifier le code]

Le 5 février 1818, l'ex-maréchal Bernadotte devient roi des royaumes unis de Suède et de Norvège sous le nom de Karl XIV Johan (Charles XIV Jean de Suède). Il fait prospérer ses États, développant l'instruction publique, l'agriculture, l'industrie et le commerce.

La légende veut que cet ancien soldat de la République ait porté un tatouage disant « Mort aux rois ! » (ou « Mort aux tyrans ! ») selon les témoignages[4].

Il avait comme devise : « Que l’amour du peuple soit ma récompense ». Il était franc-maçon. Il décède le 8 mars 1844, et est inhumé dans la crypte de l’église de Riddarholmen, dans laquelle reposent les rois suédois. Son fils Oscar lui succède. Depuis, les Bernadotte règnent toujours sur la Suède, le roi actuel Charles XVI Gustave est le septième de la dynastie.

Recherche[modifier | modifier le code]

Une grande enquête est en cours dans les archives Bernadotte de Stockholm. Elle a été lancée en 2003 par le laboratoire Framespa de l’université Toulouse II-Le Mirail. Les documents sont conservés au palais royal de Stockholm (Kungliga Slottet) où ils sont consultables après l’obtention d'une autorisation signée par le roi. Ces archives sont totalement en français car Bernadotte, malgré ses efforts, n'a jamais maîtrisé le suédois et fit systématiquement traduire tous les documents de son administration en français. Le coordinateur de cette enquête, Jean-Marc Olivier, en dresse les premiers résultats dans les numéros 2, 5 et 6/7 de la Revue d'histoire nordique. Une quinzaine de mémoires de master ont déjà été soutenus devant cette université sur Bernadotte devenu Charles XIV Jean. Ils sont conservés dans la bibliothèque de l'UFR Histoire, arts et archéologie.

Galerie[modifier | modifier le code]

Grades militaires et distinctions[modifier | modifier le code]

Statue équestre de Bernadotte à Stockholm réalisée par Bengt Erland Fogelberg.
  • 16 juin 1785 : caporal ;
  • 21 juin 1786 : fourrier ;
  • 11 mai 1788 : sergent-major ;
  • 7 février 1790 : adjudant ;
  • 6 novembre 1791 : adjudant-major ;
  • 30 novembre 1792 : lieutenant ;
  • 13 février 1794 : chef de bataillon ;
  • 4 avril 1794 : chef de brigade ;
  • 29 juin 1794 : général de brigade ;
  • 22 octobre 1794 : général de division ;
  • 19 mai 1804 : maréchal d’Empire ;

Décorations[modifier | modifier le code]

Portrait, par Johann Jacob de Lose (1755-1813), 1805.
Empire français 
Royaume d’Italie (1805-1814) 
Électorat de Bavière 
Royaume de Prusse 
Royaume de Saxe 
Royaume de Suède 
Royaume de Danemark 
Royaume d'Espagne 


Sources 
  • Almanach impérial pour l'année 1810, Testu (lire en ligne) ;
  • « Bernadotte (Jean-Baptiste-Jules) », dans A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat, Fastes de la Légion d'honneur, biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre, vol. I,‎ 1842 [détail de l’édition] (notice BnF no FRBNF37273876, [%5Bhttp://books.google.fr/books?pg=PA338&dq=Fastes%20L%C3%A9gion%20Bernadotte&id=VKYupTjUnSwC&output=text lire en ligne%5D lire en ligne]), p. 338 lire en ligne

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. L'interface de consultation en ligne des registres de baptêmes, mariages et sépultures, sur le site des Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, permet d'accéder, sur le cliché 5/554 — [FRAD064012_5MI445-4_0723.jpg] — du registre des baptêmes de Pau pour la période 1763-1772, à l'acte de baptême du 27 janvier 1763, qui comporte comme seul prénom, pour l'enfant baptisé, « Jean », et non « Jean-Baptiste ».
  2. Claude Muller, Heurs et malheurs du Dauphiné, page 402.
  3. Décret qui transfère au maréchal Bernadotte le titre de prince et duc de Ponte-Corvo, 5 juin 1806 : « Voulant donner à notre cousin le maréchal Bernadotte un témoignage de notre bienveillance pour les services qu’il a rendus à notre couronne, nous avons résolu de lui transférer, comme en effet nous lui transférons par les présentes, la principauté de Ponte-Corvo, avec le titre de prince et duc de Ponte-Corvo, pour la posséder en toute propriété et souveraineté, et comme fief immédiat de notre couronne. Nous entendons qu’il transmettra ladite principauté à ses enfans mâles légitimes et naturels, par ordre de primogéniture ; nous réservant, si sa descendance masculine, naturelle et légitime, venait à s’éteindre, ce que Dieu ne veuille, de transmettre ladite principauté, aux mêmes titres et charges, à notre choix, et ainsi que nous le croirons convenable pour le bien de nos peuples et l’intérêt de notre couronne. Notre cousin le maréchal Bernadotte prêtera en nos mains, et en sa dite qualité de prince et duc de Ponte-Corvo, le serment de nous servir en bon et loyal sujet. Le même serment sera prêté, à chaque vacance, par ses successeurs. »(IV, Bulletin C, no 1659.)
    Source : www.heraldica.org
  4. Jean-Jacques Nicomette, Bernadotte, le roi républicain, journal Sud-Ouest, 28 août 2010 [1]

Annexes[modifier | modifier le code]

Sources partielles[modifier | modifier le code]

Pour approfondir 
« Bernadotte (Jean-Baptiste-Jules) », dans A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat, Fastes de la Légion d'honneur, biographie de tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de l'ordre, vol. I,‎ 1842 [détail de l’édition] (notice BnF no FRBNF37273876, [%5Bhttp://books.google.fr/books?pg=PA338&dq=Fastes%20L%C3%A9gion%20Bernadotte&id=VKYupTjUnSwC&output=text lire en ligne%5D lire en ligne]), p. 338 lire en ligne

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sa Correspondance avec Napoléon de 1810 à 1814, Paris, 1819, et un Recueil de ses Lettres, proclamations et discours (Stockholm, 1825) ont été publiés. Son Histoire a été écrite par Touchard-Lafosse, 1838, et par Bernard Sarrans, 1845.

  • Franck Favier, Bernadotte, un maréchal d'Empire sur le trône de Suède, Ellipses, 2010, 408 p. (ISBN 978-2729861223)
  • Jean-Marc Olivier, « Bernadotte revisité ou la complexité d'un long règne (1810-1844) », p. 127-138, et « Les archives de Bernadotte devenu Charle XIV Jean de Suède-Norvège (1792-1844) », p. 203-214, Revue d'histoire nordique, no 2, octobre 2006.
  • Anna Sømme, « Bernadotte, Roi français de Suède et de Norvège », La Revue Générale,‎ Juin-Juillet 1989 (ISSN 07708602, lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Voir aussi[modifier | modifier le code]