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Provinces-Unies (1581 - 1795)


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52° 04′ 48″ N 4° 18′ 00″ E / 52.08, 4.3

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République des sept Provinces-Unies des Pays-Bas

Republiek der Zeven Verenigde Nederlanden ou Republiek der Verenigde Nederlanden (nl)
Belgica Foederata ou Belgium Foederatum (la)

15811795

Drapeau
Drapeau des États (Staatsche vlag), drapeau officiel des Provinces-Unies : rouge, blanc, bleu
Blason
Description de cette image, également commentée ci-après

Provinces et dépendances

Informations générales
Statut République
Capitale La Haye de facto
Langue néerlandais, frison
Religion Principe de la liberté de culte : calvinisme, arminianisme, mennonitisme, catholicisme, judaïsme et autres.
Histoire et événements
26 juillet 1581 Acte de La Haye
19 janvier 1795 Proclamation de la République batave

Entités précédentes :

Entités suivantes :

La République des sept Provinces-Unies des Pays-Bas ou République des Provinces-Unies des Pays-Bas[1] ou en abrégé Provinces-Unies, en néerlandais, Republiek der Zeven Verenigde Nederlanden[2] ou plus souvent Republiek der Verenigde Nederlanden[3] et en latin Belgica Foederata ou Belgium Foederatum, est le nom usuellement donné aux sept provinces du nord des Dix-Sept Provinces ou Pays-Bas espagnols en 1581 jusqu'à la création par les Français de la République batave (1795) puis du Royaume de Hollande (1806) et qui constituaient l'État de Leurs Hautes Puissances Messeigneurs les États généraux des provinces unies des Pays-Bas[4], en néerlandais, Haar Hoog Mogende de Heeren Staaten Generaal der Vereenigde Nederlanden.

On désigne également les Provinces-Unies par les appellations Pays-Bas septentrionaux ou Pays-Bas du nord, par opposition aux Pays-Bas méridionaux ou Pays-Bas du sud Belgica Regia retombés sous domination espagnole pendant la Guerre de Quatre-Vingts Ans.

Le , par l'Acte de La Haye, ces provinces, alors sous l'autorité du roi d'Espagne, prenaient leur indépendance et constituaient une fédération. Les causes de la sécession étaient une réaction face à la centralisation en cours sous les Habsbourg, et la question religieuse, les habitants de ces provinces ayant majoritairement opté, dès le début de la révolte, pour le principe de la liberté de culte à l'encontre de la politique ultracatholique et de l'intolérance de Philippe II d'Espagne. Le calvinisme et l'arminianisme avaient de fait un rôle prépondérant dans les villes comme religion de la classe dominante des Régents. Depuis 1586, les États généraux des Provinces-Unies ont constitué l'union confédérale sous forme de république.

Les sept provinces[modifier | modifier le code]

  • la province de Hollande, ancien comté
  • la province de Zélande, ancien comté
  • la province d'Overijssel, ancienne seigneurie
  • la province de Frise, ancienne seigneurie
  • Groningue, anciennes seigneuries de la ville et des Ommelanden officiellement appelé les « États de la ville et des Ommelanden » (Stadt en land en néerlandais)
  • la province de Gueldre, partie de l'ancien duché de Gueldre
  • la province d'Utrecht, ancienne seigneurie (évêché sécularisé en 1528 par le traité de Schoonhoven).

Dépendances des Provinces-Unies[modifier | modifier le code]

Les dépendances des Provinces-Unies comprenaient :

  • le pays de Drenthe ;
  • les pays de la Généralité ;
  • des colonies et établissements d'outre-mer.

Pays de Drenthe[modifier | modifier le code]

Le pays de Drenthe (Landschap Drenthe) était administré par une assemblée d'états mais n'était pas représenté aux États-généraux.

Pays de la Généralité[modifier | modifier le code]

Les pays de la Généralité n'avaient pas d'assemblée d'états et étaient administrés par les États-généraux.

Ils étaient divisés en quatre districts :

Colonies et établissements d'outre-mer[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Empire colonial néerlandais.

La création et l'exploitation des comptoirs et colonies fut confiée par les Régents à deux sociétés par actions, la GWC et la VOC, véritables états dans l'État.

Les corps expéditionnaires dépêchés par la VOC ne parviendront toutefois jamais à s'emparer du comptoir de Macao.

Les causes politiques de la sécession[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Histoire des Provinces-Unies.

Avant 1581, les Pays-Bas étaient constitués de duchés, comtés, évêchés et autres seigneuries indépendantes, la plupart faisant partie du Saint-Empire romain germanique, et son territoire était à peu près constitué par les Dix-Sept Provinces couvertes par la Pragmatique Sanction de Charles Quint.

Par le mariage, la guerre ou la vente, tous ces États ont fini dans les mains des Habsbourg, l'empereur Charles Quint et son fils, Philippe II d'Espagne. En 1568, plusieurs provinces, menées par Guillaume le Taciturne, se révoltent contre le gouverneur du Roi à Bruxelles, Ferdinand Alvare de Tolède, duc d'Albe, à l'encontre de ses tentatives de modernisation et de centralisation des structures, de sa politique absolutiste, des exécutions capitales des opposants et des impôts élevés, ainsi que de la persécution des protestants. C'était le début de la Guerre de Quatre-Vingts Ans.

En 1579, plusieurs provinces septentrionales signent l'Union d'Utrecht, dans laquelle elles s'engagent à se soutenir mutuellement contre l'armée espagnole. L'Union d'Utrecht est suivie, en 1581, par l'Acte de La Haye, proclamant de facto l'indépendance des Provinces-Unies, et donc l'abjuration formelle du roi.

Article détaillé : Pays-Bas espagnols.

Le conflit avec le roi et son gouverneur avant 1581[modifier | modifier le code]

La guerre contre l'Espagne (1581-1609)[modifier | modifier le code]

C'est la période la plus tourmentée de la Guerre de Quatre-Vingts Ans entre 1568 et 1648. Une médiation du roi de France permet la conclusion de la trêve de Douze Ans du entre l'Espagne et les Provinces-Unies.

Les Provinces-Unies aux XVIIe et XVIIIe siècles[modifier | modifier le code]

Famille hollandaise, par Pieter de Hooch, 1662

Le XVIIe siècle est considéré comme le siècle d'or des Provinces-Unies : le pays est alors à la tête d'un puissant empire colonial et commercial. Les villes attirent les entrepreneurs et les ouvriers de toute l'Europe. La réputation de tolérance et de liberté fait des Provinces-Unies un foyer intellectuel et culturel de premier ordre.

Politique[modifier | modifier le code]

L'indépendance des sept Provinces-Unies est définitivement reconnue par la monarchie espagnole par le traité de Westphalie en 1648. La puissance de la République des Provinces-Unies durera pendant deux siècles. Au XVIIe siècle, les Provinces-Unies font plusieurs guerres à l'Angleterre, qui leur dispute la supériorité navale et commerciale dans la Mer du Nord. Les Provinces-Unies sont également, en tant qu'ennemi, de toutes les guerres de Louis XIV ; celui-ci les menace dans ses désirs d'annexer les Pays-Bas espagnols (Belgique actuelle). C'est notamment le cas à Noordpeene, lors de la bataille de la Peene, le  : le roi de France envoie son frère, Philippe d'Orléans, assiéger Saint-Omer, seule ville d'Artois encore dans les Pays-Bas espagnols ; la coalition anti-française dirigée par les Provinces-Unies (avec Guillaume III d'Orange lui-même à la tête des troupes) est défaite ; Saint-Omer tombe dans la foulée. Le traité de Nimègue viendra notamment confirmer cette défaite hollandaise.

Institutions[modifier | modifier le code]

Les institutions des Provinces-Unies sont héritées de la période des troubles ; la fiction politique en est la réunion de sept provinces qui se sont séparées de leur souverain et ont décidé de laisser vacante sa place. On trouve donc un système de république fédérale assez lâche. Contrairement aux républiques italiennes comme Venise ou Gênes, les Provinces-Unies ne connaissent en effet pas de pouvoir central fort avec un chef formel de l'État ou un territoire unifié.

Au niveau central[modifier | modifier le code]

C'est au niveau central que cette fiction est le plus nettement sensible : toute tentative de centralisation est perçue comme une ingérence dans les prérogatives des Provinces, un outrage contre leurs privilèges et un rappel de la monarchie.

De fait, la seule institution centrale conçue comme telle est l'assemblée des États généraux des Provinces-Unies (Staten generaal). Il ne s'agit même pas à proprement parler d'une institution autonome dans la mesure où elle se compose uniquement de délégués des assemblées des Etats provinciaux. Ils ont néanmoins un rôle de délibération important dans les affaires qui concernent l'ensemble des Provinces (commerce, religion, etc.) et administrent les pays de la généralité et les territoires non constitués en Provinces. Pour l’essentiel, la fiscalité repose sur les impôts indirects.

De façon informelle, néanmoins, les magistrats de la Province de Hollande ont des fonctions que l'on pourrait qualifier de centrales. Le poids économique et politique de cette Province est tel que rien ne peut se décider sans son accord. C'est en outre sur son territoire que se réunissent les institutions centrales.

Dans les Provinces[modifier | modifier le code]

Le pouvoir effectif, dans la république des Provinces-Unies, réside en fait au niveau des Provinces. Chaque Province dispose d'un appareil d'État relativement simple à trois pôles :

  • Les États provinciaux , l'assemblée délibérative, qui administre le pays à la manière d'un conseil de régence en l'absence du souverain déchu.
  • Le pensionnaire, secrétaire et président du comité permanent des Etats. Il est le chef civil de la province. Celui de Hollande a une prééminence de fait et les puissances étrangères le considèrent comme le seul interlocuteur valable parmi ses collègues. La diplomatie lui a donc donné le titre parfaitement informel de Grand-pensionnaire.
  • Le Stathouder, héritier du gouverneur et capitaine général de la période monarchique. Il est le chef militaire de la province, et dirige la diplomatie. Comme pour le pensionnaire, celui de Hollande est le plus important; il est généralement aussi stathouder de Zélande et d'Utrecht. Les Stathouders se recrutent exclusivement dans la maison d'Orange-Nassau et ses branches cadettes.

Équilibres et évolutions[modifier | modifier le code]

Le grand débat institutionnel au sein des Provinces unies a été l'équilibre entre les fonctions civiles, représentées par les Etats et les pensionnaires, et le pouvoir militaire des Stathouders. Leurs fonctions rappelaient en effet à bien des égards celles d'un monarque, avant tout chef de guerre.

Plusieurs partis se forment, les partis orangistes, calvinistes et libéraux cohabitent tant bien que mal. On hésite entre une monarchie de type britannique (alternative soutenue par les orangistes et calvinistes) et une république (alternative soutenue par les libéraux). Un statu-quo perdure jusqu'en 1650, année de l'élection de Johan de Witt. Soutenu par Cromwell, il prononce le bannissement des Orange-Nassau, suspectés par l'Angleterre républicaine de soutenir les Stuarts en exil et par la Hollande de vouloir rétablir la monarchie dans les Pays-Bas. Le stathouderat est donc suspendu en Hollande et en Zélande; certaines provinces, en revanche, maintiennent le leur. On profite pendant 20 ans d'une liberté quasi complète, appréciée notamment par le philosophe Spinoza.

Les catastrophes militaires de la guerre de Hollande, en 1672 précipitent de Witt dans la disgrâce : il est rendu responsable des victoires françaises. Le sentiment d'une punition divine des années de licence est puissant. De Witt est finalement désavoué puis lynché, tandis que les Orange-Nassau sont rappelés au pouvoir. Après une seconde oligarchie, le Stathouderat est finalement réformé en 1747. Il devient une fonction unique et héréditaire, commune à l'ensemble des provinces. Ce second stathouderat perdura jusqu'à l'invasion française de 1795 et l'instauration d'une république batave.

Les municipalités elles-mêmes se sont invitées dans le débat, concurrençant les institutions provinciales en se fondant sur la puissance de leurs élites marchandes et nobiliaires, ainsi que leurs nombreux privilèges hérités du Moyen Âge.

Population et économie[modifier | modifier le code]

Vermeer, Vue de Delft

Le succès économique des Provinces-Unies ne s'explique pas par ses atouts naturels : elles constituent un petit territoire, assez peu peuplé par rapport à la France. Le territoire s'est constitué progressivement par conquête de terres nouvelles sur la mer du Nord. Une grande partie du pays est constitué de polders de très faible altitude. Les Provinces-Unies doivent être protégées des tempêtes par des digues qui n'empêchent pas toujours les inondations. Cependant, le pays est bien situé entre la mer du Nord et la Manche. Il profite de la voie fluviale et commerciale du Rhin.

La population des Provinces-Unies s'élève à environ 2,5 millions d'habitants au milieu du XVIIe siècle. Elles reçoivent une forte immigration venue d'Allemagne et de Scandinavie. Les Juifs ibériques et les huguenots y trouvent refuge au XVIIe siècle.

L'agriculture est très productive pour l’époque : les cultures maraîchères se déploient autour des villes et utilisent une grande quantité d’engrais. Les cultures industrielles et spéculatives sont développées (chanvre, colza, houblon, teinture, tabac, lin, etc). Les villes font venir du blé des rives de la Baltique. La pêche au hareng, à la morue et à la baleine est également un secteur dynamique. Mais surtout, les Provinces-Unies s'enrichissent à l'époque moderne grâce au commerce maritime. Elles dominent le commerce en mer Baltique et s'insèrent dans les réseaux méditerranéens. La prospérité économique et financière du pays repose aussi sur le grand commerce maritime.

Carte anachronique de l'empire colonial des Provinces-Unies

Pendant la guerre de Quatre-Vingts Ans, les Provinces-Unies ont construit une marine de guerre qui pouvait menacer l'Espagne dans ses propres ports et jusqu'en Amérique. La flotte marchande de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales (VOC) et de la Compagnie néerlandaise des Indes occidentales (GWC) reprend le commerce international des Espagnols. Les Provinces-Unies se constituent un empire colonial en Asie (Insulinde, Ceylan, Malaisie) et en Amérique (Nouvelle-Amsterdam, Suriname). La flotte hollandaise fréquente les ports japonais et menace les possessions ibériques d'Amérique du Sud.

Le commerce des Provinces-Unies décline au cours du XVIIIe siècle. On constate la chute des importations de bois balte (2/3 en 1720, 1/5 en 1740), de vin du Rhin (96 % en 1710, 40 % en 1750), de hareng de la Baltique (60 % en 1700, 15 % en 1740). La Compagnie néerlandaise des Indes occidentales perd ses positions en Inde et en Chine. La production de papier passe de 150 000 rames en 1730 à 80 000 en 1750. Le nombre de manufactures de tabac d’Amsterdam passe de 30 en 1720 à 8 en 1751. Les constructions navales s’effondrent durant le siècle. Leyde produit 139 000 pièces de tissu en 1671, 54 000 en 1750, 29 000 en 1795. La population stagne à 2 millions d’habitants et se paupérise. Les coûts salariaux trop élevés, l’essor commercial et industriel des puissances européennes comme la Grande-Bretagne et la France sont à l’origine de ce déclin[5].

Culture[modifier | modifier le code]

Rembrandt, La ronde de nuit

Les Provinces-Unies ont été un foyer culturel de premier ordre aux XVIIe et XVIIIe siècles. Cette république tolérante accueillait alors toutes les religions et favorisait les libertés individuelles. Elle donne à la philosophie l'un de ses plus grands philosophes : Baruch Spinoza (1632-1677). Les philosophes français René Descartes et Pierre Bayle y ont travaillé et publié longtemps. Montesquieu admirait ce modèle politique et fit publier ses Lettres persanes à Amsterdam en 1721.

Le pays dispose de centres d'édition et d'imprimerie (Amsterdam, Rotterdam), d'universités brillantes (surtout l'université de Leyde, fondée en 1575). Le XVIIe siècle voit s'épanouir une peinture hollandaise renommée et représentée par Jan Vermeer (1632-1675), Rembrandt (1606-1669) et Frans Hals (1580-1666). La bourgeoisie d'affaires, les armateurs et les échevins passent des commandes auprès de ces artistes et se font construire des hôtels particuliers dans les villes.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Denis Diderot, Voyage en Hollande, La Découverte,‎ (ISBN 978-2707112798)
  • (nl) Denis Diderot, introd. et notes d'Yves Benot, Over Holland : een journalistieke reis 1773-1774, Amsterdam, Antwerpen, Contact,‎
  • Jean Jennet, Histoire de la république des Provinces-Unies des Païs-Bas, depuis son établissement jusques à la mort de Guillaume III, roi de la Grande Bretagne, La Haye, Chez G. de Voys, 1704.
  • Aubry du Mouriez, Mémoires pour servir à l'histoire de la république des Provinces-Unies et des Pays-Bas; contenant les vies des Princes d'Orange, de Barneveld, d'Aersens et de Grotius, avec des notes par Amelot de la Houssaye, Londres, Aux dépens de la Compagnie, 1754.
  • François Michel Janiçon, État présent de la république des Provinces-Unies, et des païs qui en dependent, La Haye, chez J. van Duren, 1755.
  • Dérival de Gomicourt, Lettres hollandoises, ou Correspondance politique, sur l'état présent de l'Europe, notamment de la république des sept Provinces-Unies, Amsterdam, 1779-1781.
  • Abraham de Wicquefort, Histoire des Provinces-Unies des Païs-Bas, depuis le parfait établissement de cet état par la paix de Munster. Publiée au nom de la Société d'histoire à Utrecht, Amsterdam, F. Muller, 1861-74.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Dérival de Gomicourt, Lettres hollandoises, ou Correspondance politique, sur l'état présent de l'Europe, notamment de la république des sept Provinces-Unies, 1779.
  2. Ce qui signifie mot à mot République des Sept-Pays-Bas-Unis. Toutefois l'expression usuelle en français était République des Provinces-Unies ou Provinces-Unies, voir e.g., François Michel Janiçon, État présent de la république des Provinces-Unies, et des païs qui en dépendent, La Haye, chez J. van Duren, 1755.
  3. J.D.J., Historie van den jegenwoordig geëindigden oorlog in Vlaanderen en Braband, Amsterdam, 1749, p. 549 : "van de vier Ministers Plenipotentiarissen van de Republiek der Verenigde Nederlanden".
  4. J. Louys Runckel, Mémoire de Monsieur Runckel, secrétaire d'Etat de Leurs Hautes Puissances Messeigneurs les Etats généraux des provinces unies des Pais-Bas, 1707.
  5. Carlo M. Cipolla, The Economic Decline of Empires, Taylor & Francis,‎ (présentation en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]